Ci dessous le message de remerciements de Gérard à son ami Poppy avec qui il a effectué une superbe balade en Corse.

Salut tout le monde,
Poppy vous  a raconté par le détail notre périple.
Je souhaite rajouter qu'il a été parfait quant à l'organisation: parcours,horaire, hôtels, etc. Un régal !!
Je veux aussi vous dire combien je suis admiratif de sa performance. Nous avons gravi de belles pentes, roulé, parfois, sur des routes bosselées, en réparation, fraîchement goudronnées. Il a patiné, soufflé, pesté, mais a toujours eu la patate et gardé le sourire.
Nous avons vécu de très bons moments.
Merci, Monsieur POPPY !
Merci aussi à nos deux accompagnatrices.

Et le lien pour voir le reportage de Poppy sur son blog :

 http://cyclodingos.over-blog.com/notre-grand-tour-de-corse

 

 

 

 

 

Au programme 2013, il y avait le week end concocté par JC Bosson, la traversée nord-sud-nord du massif du Vercors, de Seyssins à Die.

Après quelques modifications du nombre des inscrits, en plus et en moins, ce sont 14 cyclos et une accompagnatrice ( Marianne Girel ) qui se sont regroupés à Seyssins en ce samedi 24 août.

Après deux mois quasi ininterrompus de soleil et de chaleur, Dame météo avait décidé de choisir ce week end pour arroser la nature....c'est donc sous un ciel bien chargé et avec de sérieuses menaces de pluie ou orage qu'il nous a fallu décider d' y aller ou pas !

Tout bon organisateur doit prévoir le plan B de secours; nous faisons cependant fi des mauvaises augures et entamons la montée vers St Nizier du Moucherotte en parfait accord avec le flegme anglais " wait and see". C'est un coup de poker, soit il pleut et on se replie vers les voitures soit il ne pleut pas et on continue à vélo.

Parmi nous, un groupe de 4 "mousquetaires" a choisi l'option voiture jusqu'à DIE, ils ont donc effectué plusieurs grimpes aux alentours avant de revenir à Seyssins et repartir.

Ils auraient pu faire le bon choix , c'est le principe des paris....perdus !!

Mais revenons au départ, de Seyssins à St Nizier il y a 15 km de....montée et 900 mètres de dénivelé, pas le temps de s'échauffer et notre groupe de 10 s'est rapidement égrené tout le long de la route, au sommet de cette première bosse, Marianne nous attendait avec moults produits de réconfort

rapide coup d'oeil aux 3 Pucelles, tant pis, elles attendront encore ...

bleu à gauche,  noir à droite :  il faut choisir la bonne route

 

arrivée à St Nizier, cake salé  ou tarte aux noix ?

Devant la menace de la pluie, nous décidons de ne pas faire halte plus longtemps et de continuer à vélo,  le plan B est définitivement abandonné.

Les km sont avalés à un bon rythme jusqu'à Villard de Lans mais la longue montée dans la forêt d' Herbouilly va nous faire lever le pied. Sommet à 1370 mètres, route superbe et (presque) pas une voiture. 

La pente sur l'autre versant est plus prononcée et nous en profitons pour lâcher les freins en direction de St Martin en Vercors, les Baraques, La Chapelle où nous décidons de répondre à la question :  "cékankonmange" 

Mais il est déjà plus de 13 heures et les quelques boutiques susceptibles de calmer nos estomacs sont rares....voire pas aimables.... dommage !

Nous parvenons à glaner quelques subsides et repartons pour la dernière partie pentue du parcours qui doit nous mener au col du Rousset.

Pour certains, manger est un réel plaisir...

mais pour d'autres ??

 

Nous passons à Vassieux , haut lieu de la Résistance dans le Vercors.

Résisterons nous aux attaques de la météo ?  on dirait que ça se gâte un peu !

finalement qui a fait le bon choix ??

Le col de St Alexis n'est qu'une formalité et nous mène tout droit vers le Rousset et son tunnel.

JC F semble intrigué par ces deux yeux brillants

 

Une fois le tunnel passé, ce sont 21 km de descente qui nous attendent jusqu'à DIE, alors elle est pas belle la vie du cyclo ?

seraient-ce les soeurs des Pucelles ?

mais on est où ?  on dirait le  Stelvio  !!

 

allez, c'est parti ...direction  St Domingue .....

puisque c'est le nom de l'hôtel où nous faisons une halte bien méritée.

Nous retrouvons nos 4 "mousquetaires" qui se sont payés quelques cols en nous attendant, chacun sa voie ....

Accueil et logement agréables dans une petite ville que nous aurons tout le loisir de visiter entre deux grosses averses car, sitôt le dernier cyclo arrivé, le ciel s'est mis à déverser toute l'eau qu'il retenait depuis le matin. Merci Dame météo !

Et que font des cyclos qui ne pédalent pas ???

No  comment  !!

Mais après une bonne centaine de km et plus de 2000 mètres de grimpe, un peu de réconfort ne fait pas de mal !

Dimanche 25 août :

on prend les mêmes et on repart : ceux en vélo et les 4 "mousque...tures "  ah ah ah

petits réglages de dernière minute,

et oui, les cyclotes aiment bien se faire chouchouter...

 

direction  Chatillon en Diois , Mensac et le col de Menée à 1457 mètres.

Petit détail, ce matin à 8 heures y fé pa cho !! mais on ne prévoit pas de pluie , ouf !

 

 

 

 

passage au village de  Menée,

le soleil est là, la température monte et la route aussi.

Depuis Chatillon, il ne faut pas moins de 21 km et 1000 mètres de dénivelé pour arriver au col de Menée, la pente est "raisonable" mais usante et chacun monte à sa main.

sans oublier de jeter un coup d'oeil au paysage,

 

  Nous arrivons au tunnel par une route en travaux mais à un jour près , elle était coupée....et là on avait un plan C  ???

 

 

Marianne, notre accompagnatrice de luxe, nous attendait au col, bien au chaud dans sa voiture car la température était tombée à 8 degrés , pas mal pour un 25 août !

 

Les volutes de nuages franchissaient les sapins et se dispersaient sur le versant sud mais le brouillard nous attendait de l'autre côté, nous enveloppant dans une humidité glaçante... brrrr

la descente, presque aussi longue que la montée, nous amène à Chaffaud où nous pourrons, enfin, quitter les impers et nous réchauffer, sous le regard, narquois, du Mont Aiguille, qui lui, sait ce qui nous attend...

Après un pénible passage par la RN 75 charriant ses flots de vacanciers du sud au nord, nous retrouvons nos petites routes tranquilles. St Michel les Portes, vous connaissez ? nous non plus mais la pente à 15 % elle nous est bien restée en travers.

Nous reprenons notre souffle devant une charmante maison au doux nom du "soleil levant", tout un programme !

 

 

car il n'y a pas que le soleil qui est "levant", la montée au col de  l'Allimas l'est aussi.

NB : c'est l'Allimas  et pas  la limace  bien qu' à l'allure où nous sommes montés on aurait pu confondre !

Une montée comme on les déteste avec une descente en plein milieu qui vous oblige à refaire tout le dénivelé.... mais qui construit des routes pareilles ?

 

les derniers km, sous la chaleur et à 9 / 10 %, sont un dur moment à passer mais nous sommes très contents d'être là car, selon le road-book de notre cher JC.B , les grimpes sont finies...  ah bon ??

alors photos :

 

 

 

et le Mont Aiguille riait car, lui, il savait...

 

et dans tout ça, il se fait quelle heure ?  hou.... il y a longtemps que midi a sonné et heureusement que notre chère Marianne s'occupe de nous. Elle a pris les commandes de sandwich et elle est partie à Gresse, chercher de quoi nous sustanter. Bien lui en a pris car ce ne fut pas des plus facile et elle a dû faire preuve d'adaptabilité ( c'est comme ça qu'ils disent dans les entreprises où y'a des gens qui travaillent ).

Nous avions à peine roulé 1 km que nous retrouvons notre ange gardien bien garé dans un virage ensoleillé et abrité du vent,  non mais je rêve !!

La couverture, les sandwich, les fruits , les boissons..  ça c'est de l'organisation !!

et un bel étalage de vélo...

et pour terminer, des cyclos ravis de leur balade, souriant devant la caméra..

oui, mais il y a des  sourires qui ne devraient pas être filmés..

 

pause café à Gresse en Vercors et c'est l'esprit libre et serein que nous sommes repartis en direction de Seyssins...sauf que,

le JC.B il avait "loupé" une bonne grimpe quand il a détaillé son parcours et nous nous sommes retrouvés dans du 10 % , sans même savoir où nous étions vraiment.

Nous l'avons baptisé le Col sans Nom mais faute de dragée, la pilule fut dure à avaler.

il a bien fallu s'arracher et le Michel était dans ses petits souliers.

il aurait bien aimé avoir  son  "crapaud pilote", alias JP. C

 

Le retour jusqu'à Seyssins fut long et un peu pénible au milieu de la circulation mais nous avions, sans doute, perdu l'habitude de rouler au milieu des voitures.

Encore un grand merci à Marianne de s'être dévouée pour notre confort, merci à JC. Bosson pour l'organisation du séjour et merci à Dame Météo pour avoir déjoué toutes les pires prévisions.

rendez-vous l'an prochain pour de nouvelles aventures...

 

texte @ndré , photos de Marianne et @ndré

 

 

 

Comme prévu après la montée du col du Glandon ( voir l'article ), les chasseurs de cols se sont retrouvés au pied de l'Alpe d'Huez pour une répétition de l'étape du Tour... ou presque !!!

Départ de Bourg d'Oisans pour quelques km d'échauffement avant de passer aux choses sérieuses.

Et en arrivant au Clapier, on s'aperçoit qu'il en manque un ... Dédé Renaud.  Appel au portable,  pas de réponse mais où est -il ??

Retour à Bourg et contact est enfin pris avec DD qui nous dit être déjà arrivé au virage 12 de la montée !!  il nous explique qu'il est parti en retard du parking et qu'il n'a pas vu que nous étions partis à droite;  il s'est engagé à fond dans la montée, pensant que nous étions devant,  sacré DD, il nous a pris pour des équipiers d'Armstrong qui montaient à 30 km/heure.

Bref, il était devant,  et nous....derrière,  même loin derrière pour certains !

Hou hou  Dédé,  z'avez pas vu Dédé ?

Bon, assez rigolé, on a une montée à faire et il serait temps d'y aller.

Monter à l'Alpe d'Huez, c'est facile, il suffit de compter à l'envers, de 21 à 1, soit le nombre de virages et ça passe tout seul !!

Peu importe le rythme, l'essentiel à notre âge, est de franchir la ligne; certains en moins d'une heure et d'autres en un peu plus....

Au même moment, il y avait une montée chronométrée et le premier est arrivé en 42 minutes et quelques secondes, ah ces jeunes, ils n'ont aucune pitié pour les anciens !

Pour ma part, 1 h 15 d'efforts suffisent à mon bonheur

Guy , facile, sur son beau vélo

et lui, vous avez reconnu son vélo bien sûr ?

mais il tient à garder l'anonymat.

 dans la montée, nous avons été photographiés à 2 endroits et vous pouvez vous voir sur le site :  http://www.photobreton.com

Après nous être regroupés, nous poursuivons notre ascension vers le col de Sarenne qui culmine à 2000 mètres. Il suffit de quelques virages et en peu de temps nous nous retrouvons en pleine nature sauvage; oubliée la station touristique avec ses magasins, ses immeubles, ses télésièges  etc etc  qui en font une des "mecques" des sports d'hiver; place à la Montagne, la vraie !

La route de Sarenne a été, sommairement, aménagée pour le passage du Tour de France mais elle reste une route soumise aux dures conditions hivernales, peu compatibles avec le confort d'un cycliste.

Cela commence par une descente, un passage de torrent et une belle remontée vers le col avec une pente à 9 / 10 %.

cela mérite bien une photo non ?

( Denise, Michel et un ami de Gérard G. )

photo de groupe au col de Sarenne,

mais il manque Dédé et Pierre, déjà engagés dans la descente vertigineuse du col dont on voit ici une partie des nombreux lacets :

et dire que le Tour est passé ici !!

Il serait vraiment dommage de ne pas profiter du paysage qui s'offre en cadeau à nos efforts ...

le col est juste au dessus de  la tête de Guy

derrière les  épilobes,  le massif de la Meige

 

Encore un grand moment de cyclotourisme par une journée ensoleillée et dans un cadre somptueux,  que demander de plus ?   que cela continue bien sûr !

La longue descente de Sarenne, agrémentée de passages bien gravillonnés, nous a conduit au Freney d'Oisans où les plus courageux sont repartis à l'assaut du balcon d'Auris, avec quelques km bien pentus, puis retour par la Garde, alors que d'autres ont rejoint directement Bourg d'oisans afin de satisfaire un besoin bien naturel :  MANGER !!

Un petit restau sympa nous a tendu les bras de ses fauteuils et c'est avec un vif plaisir que nous avons repris les calories vaillament dépensées.

Cette sortie cloturera , sans doute, les grosses grimpes de la saison 2013, en espérant les renouveler le plus longtemps possible.

 

texte et photos @ndré

 

 

 

 

 

 

Les cyclos de Grésy de retour de CERVIA,  Italie

60 membres du club Cyclos de Grésy viennent de passer une semaine à CERVIA, province de RAVENA, Italie. Une météo ventée, fraîche et ensoleillée les a accompagnés mais les baigneurs furent peu nombreux à oser affronter la fraicheur de l’Adriatique.

Au programme, vélo, balade, visites, plage, bons repas......enfin tout ce qu’il faut pour une semaine de vacances et de bonne humeur.

Au total ce sont plus de 600 km et 5800 mètres de dénivelé positifs qui ont été effectués ( par les plus motivés), sans aucun incident, et dans l’esprit « cyclo ».

Tous ont apprécié la qualité de l’accueil à l’ Hôtel ADMIRAL, et la renommée des frères Sergio et Antonio POMPONIO a largement dépassé les limites de la région. Un très grand nombre de clubs cyclos en ont fait leur « centre de vacances ».  

Le point d’orgue de ce séjour restera la journée à SAN MARINO, petite république nichée sur un belvédère à 700 mètres d’altitude, que les cyclos se sont fait un plaisir de mettre à leur tableau de chasse. Pendant que les sportifs s’époumonaient sur les raides pentes qui mènent à la citadelle, les accompagnatrices visitaient les boutiques à la recherche des plus beaux articles en vente détaxée. Un pique-nique a réuni tout le monde avant de regagner Cervia après plus de 100 km.

Un grand merci à Florian et Danielle LUPPI pour l’organisation de ce séjour qui a comblé tous les participants.

Séquence photos :

 

 

 

Dans le cadre de l'opération, 1 Jour - 1 col, organisée par le Conseil Général, les cyclos de Grésy se sont donnés rendez-vous au pied du col du Glandon.

L'idée a été lancée par J.L. Thouminot et après quelques hésitations, un petit groupe de 11 courageux(ses)  s'est constitué, accompagné par 2 invités.

Mais pour Jean Louis T. , 1 col ne suffit pas et après le Glandon, le parcours s'est poursuivi par la Croix de Fer et le col du Mollard.  Une petite balade de 75 km et 1800 m de dénivelé, le tout sous un ciel bleu azur et dans un environnement que beaucoup nous envient.

La route n'est neutralisée qu'à partir de St Colomban soit 9 km pour atteindre le col mais nous ne sommes pas venus pour jouer "petit bras" et c'est à St Etienne de Cuines que nous démarrons notre périple; même pas le temps de se chauffer les muscles que déjà la pente affiche 7 à 8 %,  un régal....

 

Voici le club des grimpeurs, à croire que la pente n'est pas la même pour eux !!

de gauche à droite : Pierre, J.Claude, Dédé et Jean....

vous ne verrez pas leur visage car je suis toujours derrière.... Grrrrr

mais comme  ils sont sympas et ils nous attendront plus loin.

Un "grupetto" s'est vite organisé et nous montons tranquillement vers St Colomban en profitant de l'abri des frondaisons et de leur fraîcheur matinale.

Denise et Raymond en mode  "cool"

Nous arrivons à St Colomban et comme l'indique le panneau , plus que 11 km,  pfff  même pas peur !!

 

" Pardon Monsieur,  le Glandon, c'est par là ?

Oui, là bas au fond..."

 

ok  merci !!

Bon, nous arrivons au départ réel de la montée, là où les difficultés commencent vraiment...un petit ravito, une photo, et en route pour le sommet...

au centre,  Jean Louis T.  entouré des  "costauds", dont il fait aussi partie.

 

le groupe des 11 et les 2 invités

( des voisins de JCF, lui en maillot noir et Madame en gris )

 

Les passages à 9, 10, 13 %  se succèdent et chacun monte à son rythme, inutile de vouloir chercher à "flinguer" les copains car l'addition se paie comptant au bord de la route.

Je profite quand même des superbes points de vue pour admirer le Mont Blanc dans son écrin de verdure.

les 3 derniers km sont à l'image de la nature qui nous entoure,

beaux, sauvages et ....durs

mais chaque coup de pédale nous rapproche du  Graal !!  et c'est avec jubilation que nous atteignons le col du Glandon.  YES !!

où un stand est dressé pour offrir une collation aux participants.

 J.Claude accompagne Nicole dans un dernier effort.

Derrière eux, la chaîne de Belledonne.

Michel essaie de vendre son vélo à Denise...

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galerie de portraits :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       désolé, il manque  JC Flenet dans la galerie

 

  vous les avez reconnus ?

=-=-=-=-=-=-

La jonction de 2.5 km entre Glandon et Croix de Fer est sans difficulté majeure et, après une courte halte, nous plongeons sur St Sorlin d'Arves par une route en bien mauvais état. Il serait temps que le Tour passe par là pour lui refaire un bon lifting.

 

C'est OLIVIER qui  porte  la  Croix sur son épaule.....

sous le regard des Aiguilles d'Arves

 

A ce stade de la journée, le  "cékankonmange" devient, pour certains, une question cruciale, mais nous avons encore le Mollard inscrit au programme et il serait malvenu de l'attaquer en pleine digestion.

Nous nous élançons dans la descente de St Sorlin ( route bien pourrie ) jusqu'au croisement qui nous mènera au sommet de notre 3 ème col.

Il commence à faire bien chaud malgré l'altitude.

dernière photo de groupe au col.

Sur les 13, seuls 3 choisissent de se ravitailler dans un petit chalet afin de profiter de la vue et de l'ombre d'un arbre. Les autres préfèrent filer vers St Jean de Maurienne et sa chaleur, c'est ça la liberté du vélo.

mais quel dommage de quitter de si belles montagnes !!

Le retour vers les voitures se fera par une longue descente du col du Mollard, interrompue par des travaux qui nous ont fait craindre de devoir....remonter !

Ouf, les cyclos pouvaient passer sur une passerelle provisoire !

A St Jean de Maurienne l'air chaud nous séchait les poumons et nous regrettions déjà la fraîcheur de col.

Arrivés à St Etienne de Cuines, Michel M. a sorti de sa voiture une tarte au flan chocolat que nous avons englouti sans modération. Et tant pis pour les absents !!

 

Une superbe journée que tous les participants garderont en mémoire tant par les efforts des montées que par le décor , une ambiance sympa, chacun se faisant plaisir à son rythme mais tout le monde se retrouvant aux  points stratégiques.

 

Une autre sortie est prévue le 28 août avec l' Alpe d'Huez et le col de  Sarenne, avis aux amateurs....

 

Texte et photos  @ndré.