TOUR  du  LÉMAN,

 8 participants pour cette, longue, sortie débutée sous la grisaille et terminée sous le soleil après ....183 km  et 1015 m de dénivelé. Du vent froid jusqu'à Lausanne, un pic-nic ensoleillé au bord du lac, un très bon balisage et des bandes cyclables en Suisse mais des routes ( françaises hélas) en bien mauvais état, une circulation très importante....et des tartes à l'arrivée.   Bref du bon et du moins bon mais l'objectif est atteint !

la plage d'Excenevex à 8 heures 30 , on se baigne ??

 

Gérard a emmené sa couette

ah, une petite pause !

le Léman sous le soleil

Nicole peut, enfin, goûter les tartes de Michel

record de distance battu ( pour certains du moins )

Randonnée en Chablais, Faucigny  et  Aravis

 

12 cyclos accompagnés par Robert POGGIO sont partis de Bonneville pour une randonnée de 2 jours sur les routes de cette belle région de Haute Savoie avec une étape à Morzine.

 

 La météo déjà bien fraîche de ce mois d’Août ne nous a pas découragés et, par miracle, la pluie ne s’est pas invitée.

Une première journée nous a menés dans la Vallée Verte avec, selon les groupes,  des passages à différents cols.

 

Le col de Cou fut un point de regroupement et de dégustation des tartes confectionnées le matin même par la famille MASSONNAT.

 

 

Oh Martine est en "jambes" , ça va donner !!

 

Robert a bien apprécié..comme les autres !

vu de près, c'est bien plus appétissant

rassurez vous, nous avons bien respecté les consignes.....

.....des habitants de ce beau chalet

 

Les plus affutés sont repartis par le col du Feu avant d’attaquer le col du Corbier et d’arriver à Morzine.

Le groupe "B" s'est contenté des petites routes de cette belle vallée offrant des points de vue sur le Léman et la traversée de villages bien tranquilles.

 

Le ciel désespérément gris et l'absence de soleil n'ont guère incité à la pause et c'est à Le BIOT, juste avant Morzine, que le groupe B a avalé une montagne de sandwich au fromage d'Abondance et aux petits cornichons aimablement fournis par le patron du bar.

ce poisson rouge mène une vie tranquille au fond du bassin.

 

Le groupe "A" s'est arrêté un peu plus loin après avoir passé le Corbier.

 

Arrivée à l'hôtel Beau Regard où nous prenons possession des chambres et des douches.

 

Mais comme il était encore tôt, certains insatiables sont repartis sur les pentes de Super Morzine, du col de Joux Verte ou d’Avoriaz. De quoi bien occuper la fin d’après-midi.

en voici deux qui reviennent du Lindaret, le village des chèvres

 

Pendant ce temps, les moins aguerris profitaient du confort de l’Hôtel ( piscine ou sauna ) ou se baladaient dans les rues, très animées, de Morzine.

Nous étions les seuls clients de l'hôtel à prendre le repas du soir, ce qui nous a permis d'être bien servis. Pas de sortie en boîte de nuit mais plutôt un rapide changement de vêtements pour les tenues de nuit.

 

Quel temps fera t il demain ??  toutes les prévisions annoncent du soleil mais ...  gla  gla  !!

 

Et en effet l'ouverture des volets nous laisse entrevoir du ciel bleu ( un miracle ! ), encore quelques nappes de brouillard en fond de vallée,  mais de chaleur...point.

 

 

du  soir  au  matin...

 

vous pouvez constater le changement de météo sur les photos ci-dessus.

 

L'heure du petit déjeuner tardait à venir pour certains estomacs et beaucoup étaient déjà en place avant l'heure officielle. Heureusement que les victuailles étaient nombreuses et fournies car le menu du deuxième jour était bien copieux avec, en entrée, le col d' Encrenaz, puis le Praz de Lys et le col de la Ramaz et, en point d’orgue, le col de la Colombière ( 1618 mètres) , classé hors catégorie ( les habitués comprendront).

C’est avec le soleil enfin revenu mais dans la fraîcheur que nous prenons le départ de cette belle étape dont le parcours sera différent selon les envies de chacun.

 

 

Le "A" fera le parcours complet préparé par JC Bosson, le  "B" se dispersera, 4 ont choisi de faire  la Colombière et 2 iront sur un autre parcours, finalement,  tout aussi vallonné.

Le but étant de revenir à Bonneville où les voitures nous attendent. 

Au total, plus de 200 km et du dénivelé par milliers, selon les parcours.

Quelques photos :

le bas de la Colombière.....cool !!

le REPOSOIR !  même pas fatigué

Martine est toujours là !!

la Chartreuse du Reposoir, ah quelle sérénité

mais la course continue et Martine lance une attaque..;

où sont les costauds ??  très loin  derrière ...

bon, Ok, ils ont fait un col en plus , mais on peut rêver non ??

Pffff....  même pas mal !!

allez  Gilbert,  plus que 2 bornes !

 

et bien voilà,  on y est  !!

Y E S  !!

 

 

Une rapide collation à différents endroits du parcours et retour aux voitures pour ranger les vélos et regagner la Savoie.

Une organisation sans faille, la possibilité de choisir son parcours et un hébergement de qualité, tels sont les secrets de la réussite de nos sorties.

Encore tous nos remerciements à notre GO,  Jean Claude Bosson, qui a su nous concocter cette balade à la sauce Chablaisienne.

 

texte et photos, @ndré, août 2014

 

 

Du 22 au 25 juillet, 16 cyclos et une accompagnatrice sont partis de Grésy pour un parcours itinérant sur les routes de Savoie, de l'Ain, de la Suisse et du Jura.

 Mardi 22,  Grésy sur Aix - Les Rousses,  133 km , 2100 mètres de dénivelé

Après les fortes pluies de ce mois de juillet "pourri", le départ se fait dans une atmosphère plutôt humide et grise mais le moral est au beau fixe et tout le groupe a hâte de s'élancer en direction de la station des Rousses, terme de notre première étape.

Mais la meilleure organisation ne prévoit pas tout et, à vélo, les aléas sont de rigueur... une crevaison pour l'un avant même d'arriver au point de ralliement, une voiture qui refuse de démarrer si on ne lui appuie pas là où il faut... bref on dirait que les vents sont plutôt contraires.  Attendons la suite....

Les groupes sont formés et chacun a choisi son parcours mais c'est ensemble que nous arrivons au premier passage à niveau de Brison  et....patatras, un rail glissant, une trajectoire oblique et chute de Philippe qui prend une bonne gamelle et se tient le bras ,  aie ça rappelle les chutes sur le tour et nous sommes inquiets pour sa santé.

Un pompier s'arrête et propose ses services mais le Philou s'est relevé et après avoir vu des étoiles, il reprend ses esprits.

 

 

Inutile de dire que l'inquiétude est générale et nous attendons de savoir s'il va continuer avec nous ou s'arrêter...les autres cyclos sont descendus de leur vélo et passent à pied ce véritable traquenard.

Philippe ne se laisse pas abattre et malgré les blessures et la douleur, décide de continuer. Il récupère ses affaires éparpillées sur le ballast et se remet en selle.

Nous en sommes quittes pour une belle frayeur mais Philippe devra se soigner.

Après ce début un peu difficile, le groupe progresse et arrive à Seyssel, monte à Bassy mais comme les aléas ne sont pas finis, 1 cyclo a oublié de tourner vers Bassy et a filé tout droit.  Gérard envoie la voiture le récupérer. No comment !

2 parcours sont prévus pour relier Les Rousses, 13 cyclos passeront par Gex et le col de la Faucille et 3 par Bellegarde et Mijoux . La séparation se fait après Challonges.

 

Le temps ne s'améliore pas mais il ne pleut pas et je scrute le ciel à la recherche de l'éclaircie...

 

 

 certain(e)s ont pris des précautions, au cas où...

 

 attention Gilbert, les sacs plastiques sont bientôt interdits...

 

 Josette a opté pour des bottes du plus bel effet.

Nous contournons la montagne du Vuache par le défilé de l'Ecluse

 

Denise est en pleine forme

 

 

 

 Les km passent et nous sommes guidés par Raymond du Valromey qui connait toutes les routes comme sa poche. Il nous fait prendre des variantes qui nous évitent la circulation et nous arrivons à Thoiry, village très fleuri où notre petit groupe décide de faire la pause casse-croûte.

 

 l'équipe de jardiniers réalise un superbe travail de fleurissement.

 

mais nos deux fleurs à nous sont bien à l'abri, comme dans une serre !!

 

 quant aux  autres, rassurez vous, ils ne sont pas allés à la pharmacie pour se ravitailler

Une courte pause et nous repartons en traversant des petits villages bien proprets de la banlieue genevoise. A Gex, le ciel s'est presque dégagé et nous attaquons la montée de la Faucille, 11 km et presque 800 mètres de dénivelé.

Je ne sais plus qui a dit " faut être marteau pour monter la Faucille" bof ! surement une blague des années 50.

Après la fontaine de Napoléon... ( ben oui, même les Grands Hommes ont soif ! )

 

 

....la pente se durcit et le compteur affiche un bon 10 %

Çà pèse un peu dans les jambes, surtout après plus de 100 km mais quand il faut y aller....on y va !

La vue sur le lac Léman et le jet d'eau de Genève manque un peu de soleil,

 

 

 

 

nos trois féminines ne se laissent pas distraire par le paysage

mais plus on monte et plus la bruine et le brouillard nous entourent pour finir en pluie au sommet, que nous franchissons dans une ambiance de mois de novembre.

 

 nous faisons halte boisson chaude dans le seul bar ouvert.

 

Il nous restait 20 km de descente pour atteindre  l'hôtel où nous arrivons trempés comme des soupes.  Le groupe des costauds était déjà en place et l'autre petit groupe est arrivé un peu plus tard.

Heureusement le chauffage, les sèche-cheveux et le papier journal ont bien aidé à éponger toute l'humidité accumulée.

C'est avec grand appétit que nous nous sommes mis à table et le supplément de pâtes a été fort apprécié.

 

un décor et une ambiance chaleureuse pour cet hôtel qui nous a très bien accueillis.

Hôtel  La REDOUTE aux  Rousses

 

 ....SUITE ....

 

Mercredi 23,  Les Rousses - Saint Claude ,  105 km , 1500 mètres de dénivelé.

Après une nuit réparatrice, sauf pour Philippe qui souffre des cervicales et de ses diverses blessures, tout le groupe se retrouve au petit déj'.

Départ à 8 h 30 pour une étape courte avec deux montées.

Notre fidèle accompagnatrice se prépare aussi.

 

Ce matin le ciel est dégagé mais le vent souffle assez fort, va-t-il nous pousser ?

Il ne fait pas chaud mais au moins il ne pleut pas !

Nous passons la frontière Hélvète à La Cure et filons vers le petit col de la Givrine. Puis une longue descente vers Bassins nous amène au pied de la route des montagnes.

Et c'est parti pour une vingtaine de km dans un cadre typiquement jurassien.

 

 

on monte, on monte, on tourne, on remonte, sapins, prairies, fermes isolées, petite route, ciel bleu.....

 

 

 

 

C'est Nicole qui accélère ou Josette qui attaque ??

 

 

on croise même des gens à vélo, Bonjour !!

Après être passés par des portions à forts pourcentages, nous sommes sur une longue route assez plate menant au col du Marchairuz.

 

 

 

Et pourtant, il m'a semblé voir la muraille de Chine...

 

 

ces longs murs de pierre sont en parfait état, ils marquent les limites de propriété et font partie du patrimoine local.

Pendant ce temps, les "rapidos" ont fini la montée du col du Marchairuz et sont revenus à la voiture. 1.5 km de grimpe pour le plaisir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 sous le regard des vaches qui se baladent en toute liberté

 

La descente vers  Le Brassus est raide et très rapide, le vent nous prend de travers et nous redoublons de vigilance.

Nous repassons la frontière à Bois d'Amont mais où sont les  gabelous ??

 

 

 

Nous cherchons un moment la petite route de Bellefontaine et après quelques hésitations finissons par la trouver. Elle ressemble plus à une piste de ski de fond telle que celles de la Féclaz.  Boue, cailloux, restes de débardage, enfin tout ce qu'il faut pour percer nos chambres à air..... et bien non, rien de cela n'est arrivé !!

Par contre la route est loin d'être plate et les grimpes courtes et raides n'en finissent plus. Nous atteignons  la cote 1230 et basculons dans la combe de Morbier.

L'arrivée à St Claude se fera par une longue et belle route en quasi descente, sauf pour ceux qui ont bien suivi le parcours prévu et sont passés par la Combe Noire.

Nous faisons la pause repas à St Claude dans un jardin municipal, en attendant que la voiture arrive avec les bagages.

 

 

 Nicole s'est offert un beau gâteau

 

 

une vue de la ville dont l'emblème est ....

 

 

la  PIPE  bien sûr !

Nous sommes logés à l'Hôtel du Jura, en face la gare. Après l'étape du Tour, une balade en ville et un repas, nous regagnons nos chambres pour un repos réparateur.

 

 ......suite....( clic ici)

 

Jeudi 24, Saint Claude - Nantua, 113 km, 2050 mètres de dénivelé

Dans une ville qui a la pipe pour emblème.....

 

 ......les nuits à St Claude doivent être plutôt calme, sauf quand une bande d'énergumènes teutons décide de faire le binz, à minuit, sous nos fenêtres. Ce fut bref mais suffisant pour nous tirer du sommeil du juste.

Le petit dej' de 7 heures ( avec du pain pas fini de cuire ) a été avalé rapidement et sitôt les bagages chargés, nous quittons la ville pour un parcours d'une centaine de km.

 

réparation rapide d'une crevaison nocturne dans le garage !! et en route...

Deux parcours sont proposés et les groupes se constituent selon les envies de chacun. Les premiers km sont en montée, facile, par une route fréquentée et encore plongée dans l'ombre des collines environnantes. Nous retrouvons le soleil à Valfin pour attaquer la première bosse de la journée.

Les costauds vont tellement vite que 2 oublient de tourner et filent tout droit, la voiture suiveuse les remettra dans le droit chemin.

La montée vers les Prés de Valfin nous fait avaler plus de 300 mètres de dénivelé ce qui contribue efficacement à nous mettre en jambes.

Nous passons même un col à 860 mètres, non mentionné sur le road book...

 

                         Bizarre ce nom , "Crozatons" ça doit vous rappeler quelque chose...

 

 .... bien sûr !  Les  CROZETS , un plat bien de chez nous !

mais l'heure n'est pas, encore, au repas et notre périple nous mène au travers de la forêt de Moirans.

 

 Une belle route en descente qui accélère bien l'allure.

 

Le soleil joue avec les nuages alors que la brume recouvre encore la surface de l'eau en amont du barrage de Vouglans.

 

 

les chevaux profitent du calme du matin et ne se soucient guère de cette bande d'excités qui passent sur la route.

 

 

Nous longeons ensuite une succession de lacs artificiels dont la surface brille sous le soleil.  Menouille, Condes, Thoirette, des petits villages dont nous oublierons surement les noms mais que ce fut un plaisir de découvrir.

 

 

 

Une belle montée vers Corveissiat, village construit au bord d'un gouffre impressionnant puis  Simandre et nous nous regroupons au sommet de la côte de Grand Corent, bien connue pour sa bicyclette verte  fleurie.

 

 

  

Nous y croisons un groupe de cyclos locaux dont certains connaissent notre région.

 

 Nous en profitons pour leur demander confirmation de la direction à prendre pour rejoindre le "pont romain" mentionné sur le parcours.

Un pont romain ?  connait pas , et ils nous indiquent une route directe pour rejoindre le pied du col du Berthiand. Nous suivons leur conseil et nous embarquons sur la mauvaise route, ce qui ne nous permettra pas de voir le fameux pont.

 

 heureusement, d'autres ont suivi le bon chemin et ont fait halte au pied de l'édifice qui, comme on peut le voir, n'a rien de romain....il s'agit du viaduc à deux étages de Cizé-Bolozon mis en service en 1875.

 Le voici avec un TGV ...

 

 

 Quitte à être égarés, notre groupe fait halte dans un bar-resto avec l'idée de s'accorder une pause fraîcheur avant d'attaquer les rudes pentes du col du Berthiand. Mais c'est sans compter sur Josette qui demande si elle peut avoir un sandwich...et la boule de neige fait son effet.." moi aussi" + "moi aussi"etc... et ce sont 4 belles tranches de pain beurrées garnies de jambon de pays et cornichons qui arrivent sur la table.

Ce petit en-cas nous fera beaucoup de bien car le temps fort de la journée nous attend. Sur la carte, les chevrons s'accumulent et le passage à 15 % est bien marqué. Le col du Berthiand commence par une longue ligne droite de plus d'un km sans aucun répit et depuis le départ de ce matin, je ne peux m'empêcher d'y penser au point que j'ai transmis mon "angoisse" à quelques autres.

La route prévue passait par Serrières sur Ain, véritable pied du col et la sortie du village est bien pentue.

 

 

Dans ce type de montée, inutile de s'énerver et de vouloir suivre un rythme plus élevé, il faut bien se caler sur son vélo et gérer l' effort.... et ça passe !!

C'est ce qu'ont fait tous les cyclos pour arriver au sommet.

 

 

 

nos 3 costauds

 

 

et  le  Gégé

 

 

 

 Gilbert voulait emporter le poteau en souvenir...

 

 

 Ce gentil chien est venu nous saluer et Nicole l'aurait bien mis dans sa sacoche

 

 

 

 

 

 

 Sylvie, Marianne et Jean Claude arrivent au sommet.

La descente vers Nantua est aussi pentue que la montée et les compteurs affichent plus de 70 km/h voire 75.

Notre hôtel est situé au bord du lac et nous y arrivons alors que de gros nuages sont au dessus de nos têtes. Nous échappons de peu au déluge de grêle qui s'abat sur Nantua mais ce n'est pas le cas du dernier groupe de cyclos qui se prend les grêlons juste avant d'arriver.

 

 

 une vue de l'orage , prise bien à l'abri

 

Pendant ce temps, les costauds, arrivés depuis longtemps, ont eu le temps de faire le tour du lac et ont pris possession de leurs chambres dans lesquelles la télé retransmet l'étape du Tour que nous suivons au quotidien.

Une fois le déluge passé, le ciel s'est remis au bleu et nous sommes sortis pour une balade au bord du lac, qui aurait dit qu'il avait tant plu ??

 

 

 

 

 

séance de farniente...

Mais la soirée n'est pas finie et Jean Claude nous a trouvé un hébergement 3*** dans le seul hôtel de Nantua ayant répondu à ses demandes.

 

 

L'Embarcadère, une adresse à retenir.

Le repas nous a été servi dans une ambiance grand luxe et ce fut un vrai moment de plaisir pour tout le monde.

 

 

 

 

vous les reconnaissez, sans le casque et le cuissard ?

 

 

Notre Président à choisi ce jour pour nous offrir l'apéritif.

Grande classe, merci.

 

 

Jean Philippe ne regrette pas son Manoir...

 

un aperçu du repas...

 

Mais demain il y a vélo et il est temps d'aller dormir....

 

 ***** SUITE ***